Mes cadeaux de Joyeux Noël !

Vous êtes nombreux à vouloir savoir ce que j’ai eu à Noël, et je sais que vous n’osez pas me le demander, timides que vous êtes. Je vais aujourd’hui mettre un terme à toute ces questions angoissantes qui hantent vos nuits sans sommeil et parfois même vous empêchent d’avoir des activités sociales. Je ne m’attarderai que sur les cadeaux ayant trait à l’astronomie. 

Commençons par Le Cosmoschtroumpf. Pas la peine de rigoler. Il fallait bien que je marque mon retour à l’astronomie de façon singulière et que je me trouve une mascotte à laquelle m’identifier. La première édition de cette histoire date de 1967, soit deux ans avant que l’homme mette le pied sur notre satellite. Bon, j’ai été déçu. Les décors n’ont rien de lunaires (vu que le petit Schtroumpf ne parviendra pas à décoller) et l’histoire n’est, du coup, pas empreinte de la poésie à laquelle je m’attendais. Préférez Tintin et On a Marché sur la Lune (1954).

Passons maintenant aux choses sérieuses. J’ai également reçu une housse pour mon télescope. Celle-ci protégera mon instrument de l’humidité et de la poussière du garage, en remplaçant utilement le drap jaune et blanc qui remplissait jusqu’alors cet office. Bon, le drap est toujours à sa place, mais deux protections valent mieux qu’une. Ce genre de housse est censé servir à protéger les télescopes installés à l'extérieur, mais j'ose espérer que l'utilisation que j'en fais est pertinente.C'est une Telegizmos. Le Dobson de la photo ci-dessous est très certainement un 300mm car ma housse descend un peu plus bas et mon télescope semble moins à l'étroit.

Enfin, un livre, vénéré par des dizaines d’astrams (abréviation d’astronomes amateurs) : J’observe le ciel profond, avec une lunette de 60mm ou un télescope de 115mm, de Jean-Raphaël Gilis. Cet ouvrage nous décrit ce que l’on peut voir lorsque l’on possède l’un des deux instruments cités dans le titre. Je vous en parlerai davantage une fois que je l’aurai « lu ».